Pelt - Ayahuasca (US free folk drone raga 2001)
derrière Pelt se cache Jack Rose (dont j'avais posté Kensington Blues, précédemment) et deux amis a lui, Mike Gangloff et Patrick Best. Véritables explorations soniques avec des instruments uniquement acoustiques, élaborant des drones naturels incroyables, une pure merveille pour voyagé au delà des portes de la perception.
Recorded over a period of more than two years at various live and studio sessions, this double-CD shows the heavily bearded Jack Rose, Mike Gangloff, and Patrick Best broadcasting from lesser-known and newly discovered corners of the drone-omniverse. Most striking about the record is the inclusion of several traditional tunes, arranged for the group's eclectic instrumentation. While Pelt have long performed acoustic material, Ayahuasca is the first release to fully explore this part of their repertoire. 'The Cuckoo' and 'Deep Sunny South' are traditional Appalachian numbers, played and sung with considerable skill and feeling. The sawing bowed acoustic guitar on the former and the rolling banjo and Tibetan bowl accompaniment on the latter draw a direct line between raw/folk traditions and the deep, visceral drone music that Pelt have specialized in over the past several years. Combining the two styles neatly, 'A Raga Called John' features Jack Rose's very fine country-blues/Fahey-influenced fingerstyle guitar over a shifting backdrop of hurdy-gurdy and concertina, before giving way to tanpuras overrun by fretless banjo. Of course, on top of all this easily comprehensible music there's plenty of ear-cleansing, ecstatic drone, from the two long floatation-inducing trios for bowed electrics and wall-shaking electric hurdy-gurdy mania of 'Bear Head Apparition.'
http://www.myspace.com/peltuntitled
par ici : http://www.mediafire.com/?jzgzdzztyjy
photo : Howard G Charing http://www.flickr.com/photos/hgcharing/
mardi 17 novembre 2009
Mark Fry - Dreaming With Alice (UK psychedelice folk rock 1972)
Released only as a local RCA pressing in Italy, Dreaming With Alice is a legendary rarity of the hippie folk-rock scene.
It’s an LP that’s easy to like, with good songwriting and all the elements that genre fans crave - dreamy vocals, sitars, flute, stoned Eastern fantasies and wistful Donovan fairytale moods.
Indeed, it sounds like a sliver of vintage, acid-fuelled Donovan expanded to an entire album.
The gentle acoustic mood is wisely broken up with folk-rock jamming and even some hard-edged fuzz workouts, all within the aesthetic boundaries of this skilfully arranged yet pleasantly organic album.
par ici : http://www.megaupload.com/?d=G0FFVYU3
photo : Hello, Dolly! http://www.flickr.com/photos/dollykershaw/
Released only as a local RCA pressing in Italy, Dreaming With Alice is a legendary rarity of the hippie folk-rock scene.
It’s an LP that’s easy to like, with good songwriting and all the elements that genre fans crave - dreamy vocals, sitars, flute, stoned Eastern fantasies and wistful Donovan fairytale moods.
Indeed, it sounds like a sliver of vintage, acid-fuelled Donovan expanded to an entire album.
The gentle acoustic mood is wisely broken up with folk-rock jamming and even some hard-edged fuzz workouts, all within the aesthetic boundaries of this skilfully arranged yet pleasantly organic album.
par ici : http://www.megaupload.com/?d=G0FFVYU3
photo : Hello, Dolly! http://www.flickr.com/photos/dollykershaw/
Grouper – Dragging a Dead Deer Up a Hill (shoegaze folk drone 2008)
un disque à écouter allonger en foret, c'est juste magique...
Après plusieurs disques inégaux parus sur Free Porcupine Society ou Root Strata, Grouper trouve en Type (qui avait déjà sorti un de ses LP l’an passé) une terre d’accueil parfaitement idoine pour le space-folk de l’États-unienne. En effet, on sait que le label anglais s’attache de plus en plus à ce type de musique, à la fois sombre et tortueux mais aussi parcouru de véritables moments de grâce.
Dragging a Dead Deer up a Hill installe dès son titre cette ambiance inquiétante, un peu spectrale, tout en conservant un fort pouvoir de séduction par la grâce de la voix de Liz Harris. Posé avec juste ce qu’il faut de réverbération, son timbre se marie ainsi sans peine à une guitare acoustique sobrement grattée, tandis que quelques nappes plus opaques et vocalises hululantes interviennent à l’arrière-plan, dans un climat entièrement arythmique (Heavy Water I’d Rather Be Sleeping, Fishing Bird (Empty Jutted In The Evening Breeze), Tidal Wave). Pour autant, l’ensemble ne vire jamais à la ballade mortifère ou à la complaisance macabre, puisqu’il demeure toujours un rayon de lumière, comme une lueur d’espoir (Invisible et son chant moins voilé, le son plus clair de la guitare d’A Cover Over et de We’ve all Time to Sleep).
La densité homogène d’un album, dont la plupart des morceaux s’enchaînent sans qu’on n’y prenne garde, permet à Liz Harris de développer, sur ces quarante-cinq minutes, un univers dans lequel, assez étrangement compte tenu de sa noirceur apparente, on prend plaisir à se perdre. Bercé par une voix agissant tel un mantra (paroles difficiles à identifier, aucune mélodies vocales ou presque), l’auditeur ne peut alors que se laisser aller, envoûté par cette musique aux contours quasi-féériques.
par ici : http://www.mediafire.com/download.php?betnnabilz6
un disque à écouter allonger en foret, c'est juste magique...
Après plusieurs disques inégaux parus sur Free Porcupine Society ou Root Strata, Grouper trouve en Type (qui avait déjà sorti un de ses LP l’an passé) une terre d’accueil parfaitement idoine pour le space-folk de l’États-unienne. En effet, on sait que le label anglais s’attache de plus en plus à ce type de musique, à la fois sombre et tortueux mais aussi parcouru de véritables moments de grâce.
Dragging a Dead Deer up a Hill installe dès son titre cette ambiance inquiétante, un peu spectrale, tout en conservant un fort pouvoir de séduction par la grâce de la voix de Liz Harris. Posé avec juste ce qu’il faut de réverbération, son timbre se marie ainsi sans peine à une guitare acoustique sobrement grattée, tandis que quelques nappes plus opaques et vocalises hululantes interviennent à l’arrière-plan, dans un climat entièrement arythmique (Heavy Water I’d Rather Be Sleeping, Fishing Bird (Empty Jutted In The Evening Breeze), Tidal Wave). Pour autant, l’ensemble ne vire jamais à la ballade mortifère ou à la complaisance macabre, puisqu’il demeure toujours un rayon de lumière, comme une lueur d’espoir (Invisible et son chant moins voilé, le son plus clair de la guitare d’A Cover Over et de We’ve all Time to Sleep).
La densité homogène d’un album, dont la plupart des morceaux s’enchaînent sans qu’on n’y prenne garde, permet à Liz Harris de développer, sur ces quarante-cinq minutes, un univers dans lequel, assez étrangement compte tenu de sa noirceur apparente, on prend plaisir à se perdre. Bercé par une voix agissant tel un mantra (paroles difficiles à identifier, aucune mélodies vocales ou presque), l’auditeur ne peut alors que se laisser aller, envoûté par cette musique aux contours quasi-féériques.
par ici : http://www.mediafire.com/download.php?betnnabilz6
Windy & Carl - Songs For The Broken Hearted (US exp shoegaze drone 2008)
une découverte matinal forte agréable, le genre de musique que j'aime écouter au lever du jour avec un bon thé.
Le couple Windy Weber et Carl Hultgren sont des icônes incontournables et influents de la scène shoegaze et atmosphérique depuis plusieurs années déjà. Vivant au Michigan, ayant leur propre petite boutique de disques où il donne quelques concerts, le groupe n’a jamais cessé d’exister malgré des périodes sans aucune production.
C’est avec environ une quinzaine d’années d’expérience que Windy & Carl nous offrent un nouvel album avec Kranky, un album des plus atmosphérique. La musique dénudée, guitares avec de nombreux effets, de légers chantonnements (murmures) et quelques sons en arrière-plan décrivent tout ce que vous entendrez à l’écoute de Songs for the broken hearted. Là où le groupe est apprécié, copié, c’est dans le jeux de guitares ou plutôt le jeux d’effets de guitares : parfois langoureux, parfois intense, parfois hypnotisant, passant d’un son à l’autre en boucle avec quelques retouches ici et là. Une musique bien relaxante, rarement bruyante, qui découle même en partie d’un peu de new age, rappelant les grands manitous comme Brian Eno, Yellow6, Stars of the Lid et compagnie.
Le disque parfait pour créer un malaise dans un party, le disque parfait pour pousser un amateur de hip hop au suicide, le disque parfait pour votre secte sexuelle, le disque parfait pour un rituel vaudou, le disque parfait pour une nuit romantique sur la peau d’ours devant le feu.
par ici : http://www.mediafire.com/?mmdjmhhnjig
une découverte matinal forte agréable, le genre de musique que j'aime écouter au lever du jour avec un bon thé.
Le couple Windy Weber et Carl Hultgren sont des icônes incontournables et influents de la scène shoegaze et atmosphérique depuis plusieurs années déjà. Vivant au Michigan, ayant leur propre petite boutique de disques où il donne quelques concerts, le groupe n’a jamais cessé d’exister malgré des périodes sans aucune production.
C’est avec environ une quinzaine d’années d’expérience que Windy & Carl nous offrent un nouvel album avec Kranky, un album des plus atmosphérique. La musique dénudée, guitares avec de nombreux effets, de légers chantonnements (murmures) et quelques sons en arrière-plan décrivent tout ce que vous entendrez à l’écoute de Songs for the broken hearted. Là où le groupe est apprécié, copié, c’est dans le jeux de guitares ou plutôt le jeux d’effets de guitares : parfois langoureux, parfois intense, parfois hypnotisant, passant d’un son à l’autre en boucle avec quelques retouches ici et là. Une musique bien relaxante, rarement bruyante, qui découle même en partie d’un peu de new age, rappelant les grands manitous comme Brian Eno, Yellow6, Stars of the Lid et compagnie.
Le disque parfait pour créer un malaise dans un party, le disque parfait pour pousser un amateur de hip hop au suicide, le disque parfait pour votre secte sexuelle, le disque parfait pour un rituel vaudou, le disque parfait pour une nuit romantique sur la peau d’ours devant le feu.
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Paul Brett's Sage - Jubilation Foundry (UK Great Progressive 1971)
hummmm que dire si ce n'est que c'est exactement ce p'tit frisson qu'il me fallait en cette fin de 11 novembre, avec le soleil qui se couche...de la folk, du rock, des cordes, des cuivres, sa rappel The Band parfois.
par ici : http://www.megaupload.com/?d=FRUB92YL
hummmm que dire si ce n'est que c'est exactement ce p'tit frisson qu'il me fallait en cette fin de 11 novembre, avec le soleil qui se couche...de la folk, du rock, des cordes, des cuivres, sa rappel The Band parfois.
par ici : http://www.megaupload.com/?d=FRUB92YL
The Doors - Live in Stockholm 1968 (SW live 1968)
un bootleg d'une qualité rare, un des meilleurs live des doors que j'ai jamais entendu.
The Doors
September 20, 1968 (Friday)
Konserthuset
Stockholm, Sweden
Track List:
01. Five To One - 6:15
02. Alabama Song - 1:31
03. Back Door Man - 4:30
04. You're Lost Little Girl - 3:24
05. Love Me Two Times - 3:43
06. When The Music's Over - 13:54
07. Wild Child - 2:35
08. Money - 4:12
09. Wake Up - 1:46
10. Light My Fire - 11:21
11. The End - 14:54
par ici : http://www.mediafire.com/?zozilkcniqy
un bootleg d'une qualité rare, un des meilleurs live des doors que j'ai jamais entendu.
The Doors
September 20, 1968 (Friday)
Konserthuset
Stockholm, Sweden
Track List:
01. Five To One - 6:15
02. Alabama Song - 1:31
03. Back Door Man - 4:30
04. You're Lost Little Girl - 3:24
05. Love Me Two Times - 3:43
06. When The Music's Over - 13:54
07. Wild Child - 2:35
08. Money - 4:12
09. Wake Up - 1:46
10. Light My Fire - 11:21
11. The End - 14:54
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Fotheringay - Fotheringay (UK folk rock 1970)
après avoir quitté Fairport Convention, la chanteuse Sandy Denny monte Fotheringay le temps d'un album, avant d'entamer sa carrière solo.
sans doute un des meilleurs projet auquel elle ai pu participé, l'album est produit par Joe Boyd, un producteur de génie qui a su mettre en valeur leurs musique admirablement, celui la même qui à découvert Pink floyd, Nick Drake et j'en passe, dont je vous recommande vivement son bouquin "white bicycle", mais la je m'égare, écouter plutôt...
par ici : http://rapidshare.com/files/273554773/F1970.zip.html
myspace : http://www.myspace.com/fotheringaytheband
après avoir quitté Fairport Convention, la chanteuse Sandy Denny monte Fotheringay le temps d'un album, avant d'entamer sa carrière solo.
sans doute un des meilleurs projet auquel elle ai pu participé, l'album est produit par Joe Boyd, un producteur de génie qui a su mettre en valeur leurs musique admirablement, celui la même qui à découvert Pink floyd, Nick Drake et j'en passe, dont je vous recommande vivement son bouquin "white bicycle", mais la je m'égare, écouter plutôt...
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myspace : http://www.myspace.com/fotheringaytheband
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